L’en-cas de street food préféré des Mauriciens, le dholl puri, est à l’honneur dans un article du Guardian ce mois-ci, dans lequel le journaliste Nicki Grihault explique l’énigme de cette délicieuse crêpe salée.

« Les Mauriciens sont émus lorsque l’on parle de dholl puri », explique Nicki Grihault. « Il s’agit d’une crêpe à base de pois cassés jaunes moulus assaisonnés de cumin et de curcuma, grillée sur un tava (poêle plate) et fourrée au cari gros pois (curry à base de haricots de Lima) accompagné de rougaille (sauce tomate épicée créole), de légumes marinés au vinaigre, de coriandre, de satini (chutney) et de piment. »

Nicki Grihault ajoute que cette spécialité provient des parathas indiennes (pains plats fourrés). « Le dholl puri a été introduit à l’île Maurice il y a plus d’un siècle par des travailleurs engagés indiens parlant le bhojpuri et provenant de Bihar. Cette crêpe est fourrée avec les ingrédients disponibles sous la main, ce qui fait d’elle une spécialité mauricienne unique », dit-elle. « Elles sont toujours vendues par deux, à emporter dans des cornets en papier, et coûtent 14 roupies (30 centimes). En général, les Mauriciens accompagnent leur en-cas de street food préféré d’une boisson sans alcool. »

Mais où déguster cet en-cas délicieux ? Le Guardian recommande Dewa & Sons à Rose Hill. Découvrez-en plus en lisant l’article en entier ici.

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